Page:L’Œuvre de P.-C. Blessebois, 1921.djvu/180

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

166
L’ŒUVRE DE P.-CORNEILLE BLESSEBOIS


la jeunesse et où l’on travaille à si bon marché que je conseille à tous les priapes du monde de n’en point prendre d’autres.

Toutes les demoiselles d’Alençon que l’envie de courir a fait sortir de chez elles y dansent fort légèrement tous les branles de Cyprine, et l’on en est quitte pour un chancre vérolé, une chaude-pisse cordée, et quelquefois pour une vérole gangrenée.



FIN