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L’ŒUVRE DE P.-CORNEILLE BLESSEBOIS
la jeunesse et où l’on travaille à si bon marché que je conseille à tous les priapes du monde de n’en point prendre d’autres.
Toutes les demoiselles d’Alençon que l’envie de courir a fait sortir de chez elles y dansent fort légèrement tous les branles de Cyprine, et l’on en est quitte pour un chancre vérolé, une chaude-pisse cordée, et quelquefois pour une vérole gangrenée.
FIN