point troubler, car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce ne sera pas encore la fin. » (Saint Mathieu, xxiv, 6.)
Dans l’une des paraboles de Jésus-Christ, il est aussi fait mention d’un meurtre ; c’étaient des vignerons qui avaient tué le fils unique du maître, et la parabole se terminait par ces mots :
« Que fera donc le maître de la vigne ? Il viendra et fera périr ces vignerons, et il donnera la vigne à d’autres. » (Saint Marc, xii, 7-9.)
D’un autre côté, lorsque l’un des disciples, voulant défendre Jésus-Christ au moment de son arrestation, tira l’épée et en frappa un serviteur du grand sacrificateur en lui emportant une oreille, le Seigneur lui dit :
« Remets ton épée dans le fourreau, car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. » (Saint Mathieu, xxvi, 51-52.)
C’est ainsi que partout où il est question de la guerre, du meurtre, Jésus-Christ en parle comme d’un mal, mais d’un mal inévitable et dont la punition est connue par avance, car « ceux qui prendront l’épée périront par