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Page:L’Art de séduire les hommes, suivi de L’Amour et les poisons, 1915.djvu/121

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L’ART DE SÉDUIRE LES HOMMES

l’avait vu souffrir auprès d’elle, sans pouvoir lui tendre les bras, sans pouvoir lui dire autre chose que de froides paroles indifférentes.

Le vêtement d’orgueil dont elle s’était revêtue s’était collé à son âme. Elle n’avait pu arracher cette tunique de Nessus, qui glaçait au lieu de brûler.