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Page:L’Art de séduire les hommes, suivi de L’Amour et les poisons, 1915.djvu/238

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L’ART DE SÉDUIRE LES HOMMES

Nous ne pouvons jamais refermer nos bras sur cet insaisissable effleureur, et il est, hélas ! dans notre nature de chérir ce qui nous fuit.

Imitons-le parfois ; ne l’aimons jamais.