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Page:L’Art de séduire les hommes, suivi de L’Amour et les poisons, 1915.djvu/267

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L’AMOUR ET LES POISONS

— Mais si, il t’aime certainement, lui ai-je dit. Tu l’aurais compris si tu avais fumé comme lui, car le monde se serait transformé pour toi, la beauté de chaque geste te serait apparue et tu aurais su que les caresses ne sont pas toujours nécessaires pour s’aimer.