faciliter l’entrée de la verge dans la matrice, et
dont la composition a de l’analogie avec le liquide
prostatique sécrété par les glandes de l’homme
qui est l’un des éléments du sperme.
Chez certaines inverties le clitoris lui-même sécrète de ce suc et se lubrifie au moindre attouchement et souvent seulement à la pensée d’un contact avec la femme désirée.
La particularité frappante des invertis, c’est leur persuasion que leur goût est normal. Chez eux, il y a, pour ainsi dire, absence de vice, parce que leurs penchants sont réels et spontanés.
En général l’invertie naît avec des goûts masculins. Tout enfant, elle n’aime que les jeux bruyants, sa voix est forte, ses gestes brusques, elle dédaigne les filles et admire avec véhémence les hommes, particulièrement les hommes mûrs. Cette admiration peut prendre tous les caractères d’une passionnette et l’on se trompe souvent en attribuant à une invertie née des sentiments féminins précoces qu’elle est destinée, au contraire, à ne jamais connaître.
Tout le regret de cette fillette est de ne pouvoir mesurer sa force avec les garçons ; et si on le lui permet, elle devient bientôt d’une adresse et d’une vigueur remarquable dans les sports.
D’autres fois le caractère homosexuel ne se