Page:La Boétie - Œuvres complètes Bonnefon 1892.djvu/273

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tgakl ~_ · t ,,»r qg§«•~~m*~, ·f`·î=z,,y> LETTRE DE CONSOLATION ' ma PLVTARQVE A SA FEMME Plntarqne à fa femme, bonne êr heurezq/'e vie.

  ’HoMME que tu m’enuoyas pour me

~r’*f·= porter les nouuelles du trefpas de È- lîs `¢`·*..Aû§' l’enfant fe fouruoya, à mon auis, fur » il >ë*’=‘ÃW’;§ . . `É' chemin, en venant à Athenes; mais 5 ie Pentendy à Tanagre, quand i’y fus arriué. Quant à Penterrement, ie croy que tout eft defià fait. De ma part, ie delire que ce qui en a cité fait foit en la forte qu’il pourra eftre mieux pour te donner, à cette heure & à l’auenir, moins d’occafi0n ro de fafcherie. Mais fi en cela tu as laiiïé de faire quelque chofe dont tu euffes enuie, & attens fur ce mon auis, fais la hardiment, fi tu penfes, cela eftant fait,en eitre plus à ton aife; mais ce fera mettant àpart flferjlilioat toute fuperüuité & vaine fuperftition: aufïi fçay-ie « 

5 bien que de ces pafïions là, tu n’en tiens rien. mlyem

D’vne chofe fans plus te veux-ie auertir, qu’en cette douleur tu te maintiennes, & à toy &. à moy, dans les termes du deuoir. Car de mon coité, ie cognois