Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/56

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ment aprés : Venez, luy dit‐elle, voyez ſi je ne vous tiens pas ma parole, & ſi en vous montrant Mademoiſelle de Chartres, je ne vous fais pas voir cette beauté que vous cherchiez : remerciez‐moy au moins de luy avoir appris l’admiration que vous aviez déja pour elle.

Monſieur de Cleves ſentit de la joye, de voir que cette perſonne qu’il avoit trouvée ſi aimable, eſtoit d’une qualité proportionnée à ſa beauté :