Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/148

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cacher ; elle s’approcha de luy avec les reines, & avec un viſage ſi changé, qu’un homme moins intéreſſé que le chevalier de Guiſe s’en fût aperçu : auſſi le remarqua-t-il aiſément, & il eut bien plus d’attention à l’état où eſtoit madame de Clèves qu’à celuy où eſtoit monſieur de Nemours. Le coup que ce prince s’eſtoit donné luy cauſa un ſi grand éblouiſſement, qu’il demeura quelque temps la teſte penchée ſur