Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/149

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ceux qui le ſoutenoient. Quand il la releva, il vit d’abord madame de Clèves ; il connut ſur ſon viſage la pitié qu’elle avoit de luy, & il la regarda d’une ſorte qui pût luy faire juger combien il en eſtoit touché. Il fit enſuite des remerciements aux reines de la bonté qu’elles luy témoignoient, & des excuſes de l’état où il avoit été devant elles. Le Roy luy ordonna de