Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/177

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à la cacher, que de la laiſſer voir à un homme qui en eſtoit indigne, qui la trompait, qui la ſacrifioit peut-eſtre, & qui ne penſçoit à eſtre aimé d’elle que par un ſentiment d’orgueil & de vanité. Enfin, elle trouva que tous les maux qui luy pouvoient arriver, & toutes les extrémitez où elle ſe pouvoit porter, étoient moindres que d’avoir laiſſé voir à monſieur de Nemours qu’elle