Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/176

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pas opiniatrée à ſe ſéparer du commerce du monde, malgré monſieur de Clèves, ou de n’avoir pas ſuivi la penſée qu’elle avoit eue de luy avouer l’inclination qu’elle avoit pour monſieur de Nemours ! Elle trouvoit qu’elle auroit mieux fait de la découvrir à un mari dont elle connaiſſçoit la bonté, & qui auroit eu intéreſt