Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/198

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où elle n’avoit pas voulu aller parce qu’elle s’eſtoit trouvée un peu mal, je demeurai auprès d’elle ; elle deſcendit au bord de l’étang, & quitta la main de ſes écuyers pour marcher avec plus de liberté. Après qu’elle eut fait quelques tours, elle s’approcha de moy, & m’ordonna de la ſuivre. « Je veux vous parler, me dit-elle ; & vous verrez par ce que je veux vous dire, que je ſuis