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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/197

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Enfin, il me ſembla qu’elle ſouhaitoit de s’aſſurer de mon ſecret, & qu’elle avoit envie de me confier les ſiens. Cette penſée m’attacha à elle, je fus touché de cette diſtinction, & je luy fis ma cour avec beaucoup plus d’aſſiduité que je n’avais accoutumé. Un ſoyr que le Roy & toutes les dames s’étoient allez promener à cheval dans la foreſt,