Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/202

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bien auſſi que j’avais un commerce de galanterie avec une autre femme moins belle & moins ſévère que madame de Thémines, & qu’il n’eſtoit pas impoſſible que l’on eût découvert le lieu où je la voyais ; mais comme je m’en ſouciais peu, il m’eſtoit aiſé de me mettre à couvert de toutes ſortes de périls en ceſſant de la voir. Ainſi je pris le parti de ne rien avouer à la