Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/203

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Reine, & de l’aſſurer au contraire, qu’il y avoit tres-longtemps que j’avais abandonné le déſir de me faire aimer des femmes dont je pouvais eſpérer de l’eſtre, parce que je les trouvais quaſi toutes indignes d’attacher un honneſte homme, & qu’il n’y avoit que quelque choſe fort au-deſſus d’elles qui pût m’engager. « Vous ne me répondez pas ſincèrement, répliqua la Reine  ; je ſais