Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/28

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Après cela il ſe tût, & puis de temps en temps, rediſant toûjours elle eſt morte, & je ne la verray plus, il revenoit aux cris & aux larmes, & demeuroit comme un homme qui n’avoit plus de raiſon. Il me dit qu’il n’avoit pas receu ſouvent de ſes Lettres pendant ſon abſence ; mais qu’il ne s’en eſtoit pas eſtonné, parce qu’il la connoiſſoit, & qu’il ſçavoit la peine qu’el-