Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/56

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damneroit ſon imprudence, s’il hazardoit d’aller en Angleterre comme un pretendu mary de la Reine, ſans eſtre aſſeuré du ſuccés. Il me ſemble auſſi, ajoûta-t-il, que je prendrois mal mon temps, de faire ce voyage preſentement que le Roy d’Eſpagne fait de ſi grandes inſtances pour épouſer cette Reine. Ce ne ſeroit peut-eſtre pas un Rival bien redoutable dans une galanterie ; mais je penſe