Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/57

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

que dans un mariage vôtre Majeſté ne me conſeilleroit pas de luy diſputer quelque choſe. Je vous le conſeillerois en cette occaſion, reprit le Roy, mais vous n’aurez rien à luy diſputer ; je ſçay qu’il a d’autres penſées, & quand il n’en auroit pas, la Reine Marie s’eſt trop mal trouvée du joug de l’Eſpagne, pour croire que ſa sœur le veuïlle reprendre, & qu’elle ſe laiſſe ébloüir à l’éclat de tant de Cou-