Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/77

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rang qu’elle pûſt eſtre, que l’on ne regardaſt avec indifference, & qu’il n’y a point de Couronne que l’on vouluſt achepter au prix de ne les voir jamais. Les femmes jugent d’ordinaire de la paſſion qu’on a pour elles, continua-t-il, par le ſoin qu’on prend de leur plaire & de les chercher ; mais ce n’eſt pas une choſe difficile, pour peu qu’elles ſoient aimables ; ce qui eſt diffi-