Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/78

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cile, c’eſt de ne s’abandonner pas au plaiſir de les ſuivre ; c’eſt de les éviter par la peur de laiſſer paroiſtre au public, & quaſi à elles-mêmes, les ſentimens que l’on a pour elles. Et ce qui marque encore mieux un veritable attachement, c’eſt de devenir entierement opposé à ce que l’on eſtoit, & de n’avoir plus d’ambition, ny de plaiſirs, aprés avoir eſté toute ſa vie occupé