Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/119

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trouvez bon que je ne vous parle plus d’une choſe qui me foit paraître ſi peu digne de vous, & que je trouve ſi indigne de moi.

— Vous avez raiſon, Madame, répliqua-t-il ; j’abuſe de votre douceur & de votre confiance. Mais auſſi ayez quelque compaſſion de l’état où vous m’avez mis, & ſongez que, quoy que vous m’ayez dit, vous me cachez un nom qui me donne une curioſité avec