Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/120

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laquelle je ne ſaurais vivre. Je ne vous demande pourtant pas de la ſatiſfaire ; mais je ne puis m’empeſcher de vous dire que je crois que celuy que je dois envier eſt le maréchal de Saint-André, le duc de Nemours ou le chevalier de Guiſe

— Je ne vous répondrai rien, luy dit-elle en rougiſſant, & je ne vous donnerai aucun lieu, par mes réponſes, de diminuer ni de fortifier vos ſoupçons. Mais ſi vous eſſayez de les