Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/121

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

éclaircir en m’obſervant, vous me donnerez un embarras qui paraîtra aux yeux de tout le monde Au nom de Dieu, continua-t-elle, trouvez bon que, ſur le prétexte de quelque maladie, je ne voie perſonne.

— Non, Madame, répliqua-t-il, on démeſleroit bientoſt que ce ſeroit une choſe ſuppoſée ; & de plus, je ne me veux fier qu’à vous-meſme : c’eſt le chemin