Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/187

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de la meſme ſorte. J’ai eu tort de croire qu’il y eût un homme capable de cacher ce qui flatte ſa gloire. C’eſt pourtant pour cet homme, que j’ai cru ſi différent du reſte des hommes, que je me trouve comme les autres femmes, étant ſi éloignée de leur reſſembler. J’ai perdu le cœur & l’eſtime d’un mari qui devoit faire ma félicyté. Je ſerai bientoſt regardée de tout le monde comme une perſonne