Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/60

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eu deſſein d’imiter, qu’il eût fallu que la reine n’eût guère pris de ſoyn d’éclaircir la vérité pour ne la pas connaître. Auſſi n’y fut-elle pas trompée, quelque ſoyn que l’on prît de luy perſuader que cette lettre s’adreſſçait à monſieur de Nemours. Elle demeura convaincue, non ſeulement qu’elle étoit au vidame de Chartres ; mais elle crut que la reine dauphine y avoit part, & qu’il y avoit quelque intelligence entre eux.