Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/61

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Cette penſée augmenta tellement la haine qu’elle avoit pour cette princeſſe, qu’elle ne luy pardonna jamais, & qu’elle la perſécuta juſqu’à ce qu’elle l’eût foit ſortir de France.

Pour le vidame de Chartres, il fut ruiné auprès d’elle, & ſoyt que le cardinal de Lorraine ſe fût déjà rendu maître de ſon eſprit, ou que l’aventure de cette lettre