Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/83

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icy. Si vous y pouviez demeurer, j’en aurais beaucoup de joie, pourvu que vous y demeuraſſiez ſeul, & que vous vouluſſiez bien n’y avoir point ce nombre infini de gens qui ne vous quittent quaſi jamais.

— Ah ! Madame ! s’écria monſieur de Clèves, votre air & vos paroles me font voir que vous avez des raiſons pour ſouhaiter d’eſtre ſeule, que je ne ſais point, & je vous