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recherches pour notre habitation et de nous y fixer à l’instant même. Toutes les raisons de madame Bontems ne purent m’ébranler : je lui dis que c’était le dernier jour que je commandais, et que je voulais être obéi ; que dans notre nouvelle demeure, je lui promettais autant de soumission que j’avais aujourd’hui de volonté.
Madame Bontems me connaissait assez pour être convaincue qu’elle ne gagnerait rien sur moi, et elle consentit, ne pouvant faire autrement.
À peine étions-nous d’accord, que Dorothée vint nous avertir que son papa, désirant aller en campagne, nous priait de permettre qu’on déjeûnât de meilleure heure. Nous passâmes chez madame Lavalé, qui était encore de si mauvaise humeur de la veille, qu’elle