120 -.PSICHI. y point toucher. Des le mesme iour tons quatre partirent’de ce desert.. ’, Qand ils eurent passk la ravine et le petit sentier bord de ronces ils se spdrerent. Le Vieillard, avec ses enfans, prit le chemin de la ville ; Psichq., celuy’ que la ’oi’tun tuy presenta, Lg polne de se uitter fut gaie, t les larme.bie(’r'ecipmques. Psichmbrassa ’ cent foi le deux’ieunek fille, et les asseura.oue, si elle rentroit. enl grace., 11.e f.eroit fin’t auprs de I’A-" mour qu’il les combleroit de ses biehs lbur departi- : r0it fi petite- mesure ses maux, iustement ce ou’i en faudrolt pour leur faire trouvr les biens meIlle-ur-s-Apr& le -renouvellement ’des adiux et celuy ds la’ roes, chacun.suivit son chemin ; ce ne fust pus sans. : tourner la teste. La famille du Viei’lla’rd arri’a hem : eusement dans le lieu oh e[le avoit dessein de’s'tablirl Je vous-conterois ses avantures si.ie ne m’estois point Drescrit’ de bornes lus resserres Peut-estre u’un iourles m P., : . . Cl emotres que lay recuedhs tomberont entri les mains de quelqu’un qui s’exercera sur cette matiere, et qui s’en acquittera mieux que.mov ; maintenant ie n’acneveray que I hstmre de nostre Heroine. Si-tost qu’elle cut perlu-de veu ces personnes son dessein se reresenta /re le’tel au’il estoit avec ses inconveniensjses dangers, ses Pines. dont’ elle n’a-. voit ap erceu usqueqfi qu une. ette artie Ine lu .P I -, P. P.reslmt de rant de tresors qu un simple habit de Bergere. Les Palais oh iI luy faloit cgucher estoient quelquefois le tronc d’un arbre, quelquefois un.antre ou.. nne masure. L, pour.compagnie, elle rencontroit des hiboux et force serpe.ns. Sn manger croissoit sur le, bord.de quelque fontfine, ou pendolt aux branches.des chesnes, ou. se.trouvoit parmy celles des pal-, miers.- O.i l’auroit veu. pendant.ie midy, lots que la. campagne.n’est qu’un desert, contrainte de s’appuyer contre la kemiere pierre cu’elle rencontroit, et n’en pour, ant plus de cMleur,..de fatal, et d.e [assitude priant :
