Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/274

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2.70 OPUSCULE AV. ERTISSEMENT. ’assemblage de ce Recueil a quelque chose

[ de peu ordinaire. Les critiques nous de  manderont pourquoy nous n’avons pas fait 

),_ ___ iraprimer part des Ourrages si differens : cest une anc : enne am : ti qui enest la cause. Je ne justifieray donc point par d’autres raisons le dessein ue nous avons eu ; et sans m’arrter non plus roes osies, qui ne sont pas assez importantes pour faire dessus des reflexions,’je passe d’aford au se : ond Volume de ce Recueil. Le Tradacteur y fait dans Une Preface le parallele de Demosthene et.de Ciceron, et n’a rien obmis de ce qu’il &oit h propos de dire sur ce suiet. Cornroe il n’a point parM de Platon, c’est A moy de toucher legerement ce qui concerne ce Philo.sophe, non pas tant pour le 1oiier (il faudroit.que l’eusse ses graces) que pour aller au derant des oblections ue les ens c’au’ourd’huy lu ourront faire. Ceux m mm lement ont ou arrr de luy, san. s q P. YP avor aucune conno,ssance, ny de ses uvres ny de son siecle, s’&onneront qu’un hornroe que l’on traite de Divin ait pris tant de peine & composer des Dialogues pieins de sophismes, et oh il n’v a rien de decid ra pluspart du temps. Ils ne s’en tohneroient pas s’,ls prenoie’nt l’esvrit des Atheniens, aussi bien que celuy le l’Academidet du Lic&e. Bien que laLogique nefttt pas encore reduite en Art, et qu’Aristote en soit prorement l’Invnteur, on ne laisoit pas ds-lors d’exa-