Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/282

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78 ’" LET’T. acre sar6 de me faire valoir dix ni[le six certs lyres. ma balle 214 hv., m a fait une promesse payable dans trois mois, de 1,3oo liv., et du surplus, monrant 7,000 liv.., il m’a fait constitution. Ainsy il a fallu que i’aye vendu le bien de Chasti[[on, ce qui nous a fait une difficult6; car celuy qui l’a achept a dit qu’il vouloit que quelqu’un s’obligeast 3 la guarantie et entretenement dela vendition que je lui faisols, jusqu’3 ce que mademoiselle de La Fontaine eust l’aage et eust ratifi. J’en ai parlb ’M.- H 6rioart, mon beau-fr6re, qui s’en est excuse, eta. dit que, s’il interrenoir 3 laditc rendition, l’eschange aroistroit simu16, et que cela luy feroit tort pour ]es lots et ventes. J’ay creu’ qu’il vouloit peutestre [aisser cet obstacle, afin de se desdire, et ayant receu depuis peu une lettre de monsieur Faur, o, je ne trouvois pas mon conte & beaucoup pr6s, i’av creu qu’il falloit achever I’affaire quelqO brix ’0he’ce ftistO..’…’ au marchand qui x ; ous iort’era krois inille escus] ’et vous demandera vostre guarantie ; s’il ust voulu de celle .de M. de Villemont6e et de ma sœur, ie ne vous aurois p.as importun6 de cela ; mais il a dit qu’i[ ne les connoissoit pas. Pour mon 6re il en.vouloit bien, mais je ne romps jamais la este mon pre de roes affaires. Je diray 3 M. Bellanger et 3 mort beau-frre .qte je v0us fais toucher l’argent de laditc venditin ] ? our vostre seureté, en attendant que je vous aye ait bailler une indemnité de vostre guarantie par M. ’de ViIlemont6e ; mon beau-fr6re, ou bien par qui ilous p ! aira., et cela sera bien de la sorte. Je vous prie aussi, si on vous en escrit, de mander la mesme chose.

Quand vous aurez l’argent entre vos mains, mon père vous prie de lui en prester 4 mil cinq cens livres

pas exactement le nora de on oriole, qui ignoit Jannat’t,

1 Il manque ici une partie de ta leRre. No de M. Moumtrqu. )