282 LETTRES. donn suivant votre lettre, et crois que M. Visinier vous le portera lui-mme pour plus d’assurance. Nous vous avons beaucoup d’obligation de ce que vous voulez bien donner la som[ne que ie vous ai pri de donner A M. de VillemonrOe : ce n’est pas la premiere lois que vous m’avez tmoign la bonne volont que vous aez pour moi ; et ie vois bien, d’aprs les termes de votre.lettre, que ce ne sera pas la dernire. J’essaierai de mriter cette bonne volont par mes services, tant, MONSIEUR MON ONCLE etc. LETTaE IV. AU MIM E. A Cha0.ry, le 2 fvrier MONSIEUR MON ONCLE, J’ai montr votre lettre A mon pre, qui est bien aise de ne plus devoir qu’ vous, et vous en crit. Je crois que sa lettre peut tenir lieu de procuration. Le principal intrt qu’ a en cette affaire est d’&tre dg chargenvers tous du total de la rente, et ’de n’tre plus )bligk que pour sa part envers vous. I1 vous suppile d’y prendre garde, et de ne point rembourser sa art que- ma sce ur n’ait aussi reinbourse, ou ne reinbourse la sienne. Mademoiselle de La Fontaine a eu deux accs de fivre depuis deux iours. Je crois que ce ne sera rien. Nous avons resolu d aller incontinent apres Pgques
Pari pour accommoder notre aftrare ; cependant I
855 ; il toit accompagn d’un billet, dat du 5 janvier t 824, par lequel M. Hricart de Thury faisoit hommage de cette lettre M. Renouard.