Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/287

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I. ETTRES. 283 ba[se trs humblement les mains & mademoiselle Jeanhart avec votre permission, et suis, MONSIEUR M0N ONCLE, Votre, etc. : LgTTRE V. AU M P.. M E. A Charity, ce 6 mars 618. MONSIEUR MON ONCLE Vous ne recevrez point encor par cet ordinaire de let. tre de mo-n pre ; il est toujours malade, eta t& salgn& encor une lois. Ce n’est pourrant pas chose fort danuse. Dez qu’il sera en-meijleur estat, il ne manquera pas de vous escrire touchant l’afaire de ma sceur, qu’il vous prie d’achever au plus tost, si vos affaires vous le permettent. Je vous escrivis au Ion mardy dernier t6uchant vostre ferme des aulnes bou ? fans ; par cel[e cy vous trouverez bon cjue je fasse le solliciteur, et vous recommande une afmre oh madame de Pont-deBourg a interest. Je n’ay pas l’honneur d’estre connu d’e{le, mais quantit& de’personnes de re&rite ferment art i ses interest Je uis r{ de vous efescrire dPe si bonne part, qu’il a fallPu malgr& moy vous estre importun. si c’est ’ous estre imp. ortun que de vous solliciter’pour un dame de qua]it& qui a une ]arfaitement belle fille. Jay veu le temps que vous vous laissiez toucher ces chose, et ce temps n’et pas esloign&,.c’est pourquoy j’esp&e que vous interpreterez les loJx en faveur de madame d-e Pontde-Bourg. Vous en aurez des remerciements de l’Acadmie (,), mais je les conte pour rien,/t comparaison t. Racine parle de cette r6union ctas une lettre La Fort-