LETTRE X(, i.
A M. FOUQUET,
En lu envoyantl Odesuvante surle Maria e demon ’ rer mqe du Ro avec Henriette-Anne d’A ngletee en Mars 661 (2). Le zele que vous avez pour tou la maison Royale me fait esperer que ce terme cy vous sera plus agreable que pas un autr et que vous luy accorderez la protection qu’il vous demande. Avec ce passe-port, qui n’a jamais este violé, i1 vous ira trouver sans rien craindre. J’y loüe la merveille que nous ont donnée les Anglois. ncore ue sa naissance vienne des Dieux ce n’est as ce qui fait son plus grand roerite mille au’ tres qualitas.routes excellentes font au’elle est l’ornemerit auss ben.que l’admiration de Otre’Cour. C’est ce qu’on pet dre de plus & l’avantage de cette Pincede ; car notre Cour est telle &’present, que son approbation seroit glorieuse & la mere roesroe des Gra ces (). L entreprose de louer dans le roesroe Ourrage le die Frere de notre Monarque estoit infiniment au deists de moy : cependant ce n’estoit pas encore assez lb ; re ; il faloit MONSIGNUR. VOUS dire aussi quelue chose touchant la ossesse de la Reine. Je serous c0u able si ’e me taisois ndis que chacun rasonne sur la quaht du present qu’elle nous fera : il
Dans les Fables nouvelle et antre polio, de 67 (page 64) cette lettre porteseulement pour titre les initiales . . F. Dans les uvres diverges de t 729 (tome II, page t ) elle est prcde de celui que nous reproduisons ici ; quant l’Ode on la trouvera dans les PoeSies diverse.
2. Voy. ci-dessus page 289, note 3.
3. Dans les uvre divere : Cette approbation seroit mme glorieuse la re des Graces.
