IO LETTRES. Les Apostilles que vous avez faites mon Ode ne sauroient partit non plus que d’u.n iuge.m, ent trs-]solide et d’un uoO. t extrmement dlicat. vous vomez. Mnseigneur, que I’endroit de Rome soit supprim ; et vous le you ez ou parce que vous avez irop de pit, ou parce clue vous n’tes pas instruit de l’tat present des affaires. Ceux qui vous gardent ne font que trop blen leur devoir. L’exemple de C&sar tant chez les Anciens, il vous semble qu’il ne sera pas assez conn : cela pourroit arriver, sans le iour que les Ecrivains lui ont donn : ils ne manquent iamais de I’allguer en de parel les occasions. Je men sins s ’, rce nu’il est consacr cette mati&re. D’ailrvl a, leurs. vant ia parlb d’Henry IV dans mon. Eiege, ie ne’vo1ois ps proposer t notre Prince de moinres modules que les actions de c]mence du plus grand personnage de I’Antiqult. Qant c.e qu, e vous trouvez de trop poitique pour pouvoir piaire a notre Monarqueie [e puis changer en casque l’on lui prsente mon Ode ; ce que ie n’ai iamai.s. prte. ndu..O,p.e pourroient aiouter les Muses aux sollicitatons qu’on tera your vous car ie ne doute nullement que les premi/rs person’es dt monde ne s’y employent..l’ai donc compos cette Ode la consideration du Parnasse. Vous savez assez quel intrt le Parnasseprend /tce qui vous touche. Or, ce sont les traits de Posle qui font valoir ies ourrages de cette nature. Malherbe enest pleln, mme aux endroits o il parle au Roi. viens enfin/t cette Apostille o vous dites que ie demande trop bassement une chose qu’on doit mpriser. Ge.sentiment est digne de vous Monselgneur et en vrit celui qui regarde la vie avec une telle indifference ne mr,te aucunement de mourir ; mais peut-ttre n’avez-vous pas considr que c’est moi q.ui pa,rl,e. moi qui demande une grace qui nous est plus cnere nu’/t vohs I1 n’v a voint de termes si hum. bles si pa., ;….. t i r ss.ns oue ie ne m’en doive serv,r …… ’…… io[re utn. ’e'vous introdulrai sur la en cette renc. O
