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Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/315

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LETTR. scne, ie vous prterai des paroles conyenables randeur de votre ame. Gependant permettez mo de. vous dre que vous n’ave pas assez’de pasfion pqr une vie telle que ta v6tre. Je t&cherai pouant mettre mort 03e en l’tat oh vous souhaiterez qu’elle. soit, et i e serai toujours, etc. A Pari ce o janvier LETTRE XIV ( A MADAME DE LA FONTAINE. Relation d’ un Voyage de Paris en Limousin. Vous n’avez ]amais. voulu life d’aut. res voyages.que eeux des Chevdliers de la Table Ronde ; rams le notre toOrite bien clue vous le lisiez. It s’y rencoatrera pourtaut des mat]res peu’convenables fi votre goht ; c’est

moi de les assfiisonner, si ie phis, en telle sorte 

qu’elles vous phisent ; et c’est ous de 1o. ii.er,en cela non iritention i quand elle ne seroit pas smYm au suc cs. II pourra m.me arriver, sl vous ofitez ce rcit, que ous en gotet : ez apres de plus serieux. V0us ne ioiiez nine travaillez, nine vous souciez dU mnage ; et h0rs le temps qne vos bonnes amies vous don : nent par charit., il n’y a que tes Ro, ma.ns. qui vous divertissent C’est nn fonds bien-tOt.epms ; vous avez I taut de fois les weux, que vous les savez ; il s’ea fait peu de nouveaux, et parmi ce peu, tous ne sont pas boris : ainsi vous demeurez souvent sec. Considrez, je vous prie, l’utilit que ce vous seroit, si en badinant je ous avois accoutume l’Hitoirei t. Cette lettre et les trols suivantes out paru pour 1 premiere lois’ dans les ures. dierses de 7a9 t. II p. 26-56.,