Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/387

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LIgTTRES. Au Philosoph,,e sc/or. .I l en aos anni ; si Cloris le ramene, Elle aura’ chansons pour ( ) chansons. ’ Mes vets cxprlmcront la douceur de ses sons. Qu’elle air tl mon tgard le cœur d’ une inhumaine e nem cn platndrat potnt n ttant bon desormms Q.u’a chanter los Cloths et les laisscr en paix. Vous autres Chevaliers tentcrcz l’ avanture ; Mais de la mettre tl fin, fust-ce le beau Berger Qu’tEnone cut autrgfois le. ? o.uvoir d’engager, Ce n’est pas chose qut sott seure. J’allols fermer cette l.ettre, fluand j’ay receu ceIle clue vous m’avez fait l’honneur de m’gcrire ; et ce que ie dis au commencement n’est qu’une rgponse 5. quelqu chose qm me concerne dans la vostre 5. Madame de La Sabhre. Si i’eusse veu le tmoinage si ample d’un souvenir a quoy ie ne m’attendm pas, i’aurbis pouss bien lus-loinla fi ure et I’tonhe[hnt : ou peut-estre le me serms renu & une protestation toute simple, qu’il ne me pouvoit rien arriver de plus agrea~ ble que ce que vdus m’avez crit de Winsor. Il y a plusieurs choses considerables, entre autres vos deux nacreons, M. de Saint-Evremont et M. Waler, en qui l’imagination et l’amour ne finissent oint. Om. estre Amoureux et bon Pote quatre-vingt-’ deux ans ! Je n’esp. ere pas du Ciel tant de faveurs. C’est du Cid dont 1 est fait mention au Pays des Fa~ bles que ie veux parlet ; car celui que I’on prche & present en France veut que ie tenonce aux Clods, Bachus et & Apollon, trds Divinitez clue vous me recommandez dans la vostre. Je concdierai tout cela le tooins real et le plus long-temps clu’il me sera ossible, et peut-estre que vous tile 1onnerez quelque bon expedient pour le faire, vous clui travaillez 5. concilier des interests opposez, et qm en sqavez si bien les tooyens. J’ay tant entendu dire de bien de Monsieur 1, Sur dana les Ouvres dierses.