4t ! LE. TTRES. lieu, aienesse etsa modestie ne lul ont pas permis de dire ce qu’elle en pensok’ ; mais ie ne doute point des dou.cears si b/en apprest&s ne l’ayent touchbe omme elles doNertL Monsieur et Madame d’Hervart et Mademoiselle de Gouvernet m’ont e..harg de vous faire leurs complimens. Vostre Lettre teur a fait un plaisir infini, et ie pense que la campagne, qu’ils aimerit dja tint, les charmeroit bien davantae s’ils y estoient souvent regalez de semblables lectures. Mademoiselle de Gouver ! et me charge de vous dire, Monsieur qu’elle n’est fitch& de n’avoir pas loutes les graes dorft vous la 1ouez que parce qtfe ce dfaut l’mp.che de vous remercie comme voffs le m6itdz(s). Adieu, Monsieur ; je suis tout & vous. ’ - ’ LETE XXXV A MADAME**** (q.{tobr 3’ay’ rece M-adame. une Lettre de vous, du 28 d,u passe., et vous avois &fit une secoMe Lettfe oh i[
y avolt remontrance flucurie. Cornroe vous n’avez
Peas resolu de profiter de celles que [e vous ai faites, vous suis f&t,oblig de,c.e qffe ?,u.s me ctispense de vous en faire d aUtres t I avenir ; cest lt tout t fait mort ompte, Je t’ay nullement le earactere de Bastien le Remontreur ; c’est tm quolibet. Cependant d& t. ce passage suv mademoiselle de Gouvernet manque dans les tuvres postames ; il se trouve dans les ures de t’ergier. . Publiie pour la premiere fois dans les ’ares postames, page 249 ; 1I. Walckenair t fort bien 4 : tabli que c’esti Md.a.me Ijl. r’h q.u.’e ! te eat. a.dress.e., ’ ' ’ '
