Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/428

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4-4 Londond : ry s’en vase rendre, Voil, ce qu’ on me vient d’aprendre : Mais dans deux ]ours je m’attens bien O.u’ un bruit viendra q.u’il n’ en est, rich. J’ay mgme encor certain scrupule : Ce Siege est-il un Siege, on-non ? ll ressemble l’Ascenson Q_ui n’avance nine recule. JAC(LUE aura montt sa Pendule Plus d’une fois avant qu’il air Tous ces rebelles, souhair. On teur a menl Peres, Meres, Femmes, Enfans, Personnes cheres, O._u ’ on retient par force entassez Cornroe Moutons dans les’fossez, Cette Troupe aux Assiegez crie : Rendez-vous, sauvez-nous la vie ! Point de nonrelic ; au diantre Fun Qui ne soit sourd. Le bruit commun Est qu’ils n’ont plus de quoy repaistre. ,4 la clemence de leur Maistre Ils se devroient abandonner. Et puis, allez-moi pardonner Acette mauditc canaille ! Les gens trop boris et trop derors Ne font bie, n souvent rien qui vailte. Faut-il qu un Prince air ces dfauts ? C’est envoyer de I’eau la ruer que de vous &rite des reflexions’. Ainsi ie les laisse, pour.vous assrer que ie suis avec an profond respect, MONSEIGNEUR, DE VOSTRE ALTESSE SRENISSIME, Le tres-humble, tres-obissant et tres-fidele Servit.eur…. .6. paris, le 8 aoust 689.