Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/427

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

LETTRE. ont ’ chef&it qetqe alibi Pour fhtifir leur onduite. Cest un tres-mauais nddent. Halifax semloit fort prudent. Dombi, je ne le connois guere. Bentin a son Malstre scettt plaire, dusqu’a quel point, je n’en dis mot S’il n’east est qu’un jeune sot, Cornroe. sour tohs les Ganime&s, On auroit endur de lui, t dans la piece d’aujourd’hu[ Bentin’feroit pea d’intermedes ; Maes. prompt, ha. bile, diligent Somme aux inspectears chape, II a du costt de l’dpe’ Mis, ce dit-on, quetques deners. Apris tout est-il des premiers A’qui pareille chose arrive ? Ne faut- il pas que chacun vive ? Cependant il a quelque tort Site gain est un pea trop fort, Veu les Anglois et lears Coatames. Le Proverbe est bon, salon moy, One qui, l’Ou a mang du Roy Cent aris apris en rend les plumes. Manger celle du Peuple Anglois Est plus dangereux mille fois. Bentin nons en saura que dire : Je n’y roes pour lui point a fire ; On va lui barter bien et beau Le chemin aux grandes fortunes. Deeu me garde de fen t d eau, De mauvais vin dans un cadeau, D’avoir rencontres importunes, De tiseur de vers sans rlpit, De Maistresse ayant trop d’esprit, Et de la hambre des Communes !