LIVRE pREMIER. totertilt, bien qu’elle en eat.plus,de,b,soin, qu’al autre : car, apres les paroles ae l urace royance pouvoit-on avor de l’estat de sa foune oint d’autr sinon quelle vivt ? fe[me dans quelue repaire, o.elle se nournssot ae a pvoye que luy apportot son mary, devenu’compagne &s Ours : oourveu qu encore ce mesme mary eust attendu usues-l la devorer. ’d avot nterest ropre honneur de d&ruire cette.ffoyanc e ? . hv’en oarloit beaucoup plus pour .que pur
- -&’ la,,erit6’ il uv lust tcneux ae passer
quoy q- ,, -, -’ ur un ob’et de oiti, apres avor est un olet po _ I r..,,- :…. arens n’en estoient d’envie. Et que ssavon ee v…… point morts, ou n’en mourroen point — --x..r o l’a-moient nourouoy eur msser ce un meilleur moyen de les punir qae ae es renare.temoins de sa glolre ? C’est en substance ce que dt Psich&. ux [u re ait’ Voila les meilleures raisons Son o.y ’ s’il mod ; pearo,en m estoit libre d y’ resister. Vous estes tomb& ]ustement dfins les trois defauts qui ont le plus accoustum de nui}e aux personnes de vostresexe ; la curioslt, …. ; i** ot le trou d’esvrit. le ne rpons pas vos r’=,Is sont rop shbtils ; e3 puisque vous leostre pe et que le destro la veut aussb vas y mettre ordre et commander au Zephyre de vous appoRer vos smuts. Plust au Sort qu’il les laissast tombet. en chemin ! Non, non, reprit Psich quelque peu piqu&, puiioue leur visite vous dplaist tant, ne vous en mettez ’ us en eine : ie vous ayme trop our vous vouloir pl. ’. ’ ' Vous m’a mez trop t er ces complaisances.,. Y ’ lit.l’poax, v6us, PsifibS, vous m’aymez trop, .….. t -’oulez-vous aue ie le croye ? Sqachez que
=[] ; ’k’,-,’ se s6uc{ent que de teur amour.
leS Yrajo ………. . * ’, e le monde p1 rasonne, croye ce qu n vouara ;
