Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/75

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LIVP, E P R EM 1E P,.. 7 I , Chaczm eut art son hommage. Uae chose nuisit [ourrant ces cheveux ; Ce fur la beautd du visage. Oe vous en dirawje ? et comment En pader assez ignement ? Sup[leez g mort irapuissance ; ’de ne voas aurois. d’aujourdZuy Dpeint les beaatez de celu

des beautez a l’tntendance. 

Qqe dirois-je des rats oh Ies Ris ont logez ? De ceux que les mours ont entre eyre partagez ? Des yex ax brillantesmerveilles, i sont les poes du desir ; . El sur tout de levre vermei#es, i sont les sources du plaisir ? Psich demeura co, me transport& & ? aspect on poux. Ds i’aboM elle jugea bien que destolt t’Amour, car quelautre Dieu luy auroit paru si agreabte ? Ce que la beautY, la eunese, le divin charme commuuique h c choses le don de plaire ; ce qu’une personne faire h plaisir peut causer aux yeux de lupt, et de ravissement & Vesprit, CupSdon en ce merit-lb le fit sendr h nostre Heroine. I1 dotmolt & maniere d’un Dieu, c’est h dire profondment, panch nonchalamment sur un oreiller, un bras sur sa teste, l’autre bras tombant sur les bords du lit, couvert demy d’un voile de gaze, ainsi que sa mere en use, et les Nymphes aussi, et quelquesfois les Bergeres. . L joye he Psichk fur grande, si l’on doit appeler 1oye ce qu t proprement extase ; encore ce mot est-il foible, et n’exprime pas la moindre partie du plaisir que receut la Belle. Elle benit mille os le faut du-sexe, se eut trs-bon grk d’estre curieuse, bien fch& de n’avoir pas contrevenu ds le premier jour aux dfenses qu’on luy avoit faites, et & ses serms. I1 n’y avoit p d’appartace, selon son sens,