Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/81

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LIYRE pREi IER. 77 m"accorde de prMlege : vous n’estes pas a. ssez fort pour donner de I’avantage . vostre enn.em,y. ae, vo, us sou. stiens doric que, les choses estant egaes, a pus same partie du monde preferera toniours la Cornedge A la Tragedle. e ds-e, la plus sane parfie du monde ? mas tou le monde. Je vous demande o le gout uneersel d’auiourd’huy se porte. La Cour, les,Dame, s Caval (rs, les (avans, le peuple, tout aemano la Comedie ; point de plaisir que la Comedie. Ausm ’w.. on’on se sert indifferemment de ce mot deJomedie pour qua)fie[ tousles dve ? ssemensu Theatre : on n’a iama, s dt, LesTrageaens ; ny, talons i la Tragedie. Vous en savez mieux que moy la veritable raison, dit Ariste et que cela vient du mot de bourgade, en grec. Cornroe cette erudition setrot longue, et qua cun de nous ne l’ignore, ie la laisse i part et m’arrsteray seulement ice que vous d[tes. Parce que le mot de Comedie est pris abusivement pour toutes les especes du Dramatique, la Comedie est preferable i la Tragedie : n’st-ce pas li ien coclure ? Cela fait voit seulement oue la Comedie est plus commune, et parce qu’elle est plus commune le pourrms dre qu ell touche tooins les esprits. Voill bien conclure h vostre tour, repliqua 9elaste : led amant est plus commun que certames nierres ; donc le diamant touche molns les yeux. H ! n amy ! ne voyez4’ous pas u’on ne e lasse imais d(rire ’On peut se lasser du leu, e la bonne lee ’des Dames ; mais de rire, pomt. Avez-vous entena dire h ui oue ce soit : II y a huit jours entiers que nous rtons ; I e vous pne, pleurons aulourd buy. Vous sortez tofiiours, dit Ariste, de nostre these, et apportez des raisons si triviales que j’en ay honte pour VOS. Voyez un peu 1homme dificile repri Gehste : t ent us ue vous voulez que e iscoure e m vrym., p q. . -. ’, Comedin et du rare en mhfiosophe mmtomcmn y