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Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 5.djvu/126

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12 Po/ s.s DIVERSES. De te montrer par race sin ulfiere L'O .... g ' Jmpe entJer et tout le F rmament. Ce Dieu c'estoit Mercure assrement; IIen avoit tout l'air et la maniere. Aprks ['abord i[ me montra dn doigt .F.o.rce clartez qui partoient d'un eMroit. vos-tu, dit-il, cet enc os de lumiere C'est le Palais du Monarque des Diex Et moy d'ouvrir incontinent les yeux. ' e que je vis estoit d'une marlere ' ine scauroit dignement s'exprimer. Figurez-vous tout ce qui peut charmer, Tout ce qui peut dblouir tout ensemble, Astres brillaris, et Soleils radieux. ' N'y comprenez toutefois vos beaux yeux, Car leur dclat n'a rien qui lui ressemble. Avec Metcure en ce Palais entrd, Selon leur rang je vis sur mint degrd Les Dieux assis. Juoiter fi la teste' Tous paroissoiefit er des atours de'feste. Le Sort ourtit un Livre fi cent fermoirs, Puis fit crier dans les sacfez Marioits Par trois Herauts trois fois differentes Le contenu des paroles suivantes. De par Jupin soient les Dieux avertis, Conformement h nos divins Usages, Q.qe l'on va faire au Ciel deux Mariages Avant qu'ils soient sur la Terre accomplis. '_Au mot d'Hymen je vis chacun se taire, Et les oui'spar trois fois publief L'un pour (]o.zy, l'autre pour l'ier;tier Du Jupiter de ce bas Hem sphere. O n aplaudk: puis, silence estant fait