I2 POESIES DIVERSES. Mars chaque byver s'en revenoit attendre A son foyer les Zephirs paresseux, ' D'autres leqo, ns vous luy faites apprendre2; L'renement t en ?eut itre qu'heureux. Entre vos mains tout devient imptenable: Attaquez-vous, tout cede en eu de tems I1 faut dx. aris aux Heros de la Fable, A vous dix jours, quelquefois des instans. Le bruit que font vos explois clatans Perce les Cieux: l'Olimpe les admire: Ses abitans protegent vbtre era,re3. Le?el n'y met dbornes que os wux.
y manque-t-il ? Car vous n'avez qu'a dire
L venement n'en peut tre qu'heureux. Tel ue l'on void Ju ite dans Homere q. P Emorter seul tout le reste des Dieux. Tel balanant 1 Europe route entere Vous lutez seul contre cent envieux. Je les compare ces ambitieux Qui Monts sur Monts decrerent la guerre Aux immortels. Jupin croulant Ia terre Les abysma sous des rochers affreux. Ainsi que luy prenez v6tre tonnerre L'venement n'e peut itre qu'heureux. ous ntespas seuIement estimable Par ce grand Art aui fait [es Conauerans Terrible aux uns, ;ux antres tout imable,' Des Scipions vous remplissez les rangs. . Chaque jour... (Metcure.) . Louis luy fait d'autres Leqons apprendre. (Metcure.) . Le moindre bmt de vos Faits latans, Perce l'Olimpe, et fait q'il vous admire. gn vain Fibere ose former des vux, C'est vous seul de borner vostre Empire. 4. Tirer luy.. (Mercure.)
