Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 5.djvu/153

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POESIES DIYERSES. Auguste et lule en vertus differens Vous feront place entr'eux deux dans l'Histoire. Vos premiers pas ourfns la victoire Ont tout sofimis; et ee coeur genereux Dans les derniers affecte une autre gloire; L'renement n'en peut tre qa'heureux. ENVOY. ' Ce doux penser, depuis un mois ou deux Console un peu roes Muses inquites. elques esprits out blm6 certains ieux, Certains remts qui ne sont que sornettes. Si je dgere aux'leons qu'ilg m'ont faites, Que veut-on plus? Soyez molns rigourenx Pus indulgent, plus hvorable qu'eux., Princ en un mot, soyez ce que vons tes L'enement ne peut m'tre qu'heureux . LXXII. DISCOURS A MADAME DE LA SABLIERE =. (resormais que ma Mus aussi bien que mes

.x jours,, ' 

'r [0Touche de son declin 1 inevitable cours, ' Et qu e de ma raison le flambeau va s'teindr . L'vnement Wen peut estre qu'heureux. (Metcure.) 2. Ce Discours, lu par La Fontaine it l'Acadmie franfalse, le 2 mai 684 iour de sa rception (voyez tome lII de notre {dition, p. 242 note) a paru dans les Ourrages de prose et de pogsie des sieurs de lVlauroix et de La Fontaine (t. , p. z6), oh il est suivi de la lochette, conte (roy. t. II p. 19 de notre {dition), dont le dbut montre le pea de dure de ses projets de rforme.