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I90 POESIES DIVERSES. LXXXIX. A M. DE VENDOSMEL IPITRE. (qrince, qui faites les dlices

 Et de I'Arme et de la Cour, 

IF" [gDu vieux Soldat et des Milices, XEt de toute la gent qu'assemble le Le bruit de votre maladie [Tambour, A fait trembler pour votre vie. II n'est_pelerinage oth nous n'ayons song: Q. ue si personne n'a bo/g, C'est que le Monatque lui-mme gassura d'abord les esprits; Et ce qu'il dit vint & Paris Avec une vitesse extreme. Sans cela tout toit p,erdu: Le Poete avoit ?air dun Rendu. Comment ! d'un Rendu ? D'un Hermlte, D'un Santoron, d'un Santena , lettre du 23 aofit 69o qui se trouve dans la correspondance de Bussy-Rabutin: ( Je iffns de parier contre le bonhomme La Fontaine tous ses ourrages contre le prix qu'ils valent, que le prince d'Orange n'est pas mort. Ce passage, rapprocM de la piece de t.a Fontaine, prouve qu'on pourair avoir pour un louis tousles ourrages de notre pote. (.ette 6ptre, publie pour la premiere fois dans le Rouyeau choix de pices de polsie de Duval de Tours II p. 12), a t rimprime dans les Oruvres diverses Itt I, p. I46) avec la date de i69o. 2. Courtisansquise sont retirez. La note que donnent ici le 1Youreau choix et Les lE'uvres diverges est'conue en ces termes. Walckenaer, .qui a chercM prciser' les faits, a ainsi rdig la sienne: ({ Deux officiers qui s'Itoient retires