86 Po S. IES DIVERSES. Et ie ne mourray pas? non, Climene, vos charmes N.e paroistront lamais sans me do,nner d'alarmes; Ren ne peut empescher que je n dime aussi-tost: Je veux brfiler, languiv, et mourir s'Jl le faut. V6tre aveu lfi-dessus ne m'est pas necessaire. Si pourrant vous aimer, Climene es.toi.t vous phire, Qe je serois heureux! quelle gloire! cluel bien! 5o 'bonneur d'estre vous j'e ne de/nande vies. Cosentez seul. ement de vous vov lo.r6e, II n'est condition des mortels revere Qa.i- ne me soit ators ut ob et de mpris. upiter, s'i! qu[ttoit le' (elest pou:pris, Ne. m'obligeroi pas & luy ceder. m.& peine. Je,suis plus satifak de ma nouve[f ha,e ' 0. il ne l"est de sa o,u. dv: i,[ peu'v,gnev'lfi. haut, Vous. seie icy bas c es, out e qu. il ne fan. Pour me recompenser, avoez moy p.or vftre Et si le sort vouioii me dooner g quel9u:e autre Dite ie le ?eclame, il v. St desso,s: ma Joy; Je vous en avetis, cet escl.ave es/ moy; Dtt pou.voir de-mrs traits son cceur. lo.rte la marqne; N'y tou.dhez point: alors j. me crolray Morque.. .l'en say de bien iaitez, d'auires il. enest peu' ' Je seray plus Roy qu'eux apres xn tel aveu. Daignez doe approtver !itdansports de mort zel; I1 vous sera permis apres destre e..r. uelle. .I ma part le. respect, et res o. fimj'ss5ons, Les soins tcfijours enfans des fortes passions L,es craintes', ]es soucis, les f. requent& al'ms, L oralindite tribut des sotlirs t des larms, ' Et, si vous I.e youfez, mrs hnguer, m.( trpas, Climene, tous ces biens ne uu's manqueront ps..
