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NOTES.




SCÈNE II.

LA VENDÉE.

(24) On veut pacifier… Pacification de la Mabilais.

(25) Et quittant leurs drapeaux… Non pour traiter, mais faute de munitions.

Jamais Breton ne fit trahison, dit le seigneur de Rohan, aux officiers de Marie Stuart, reine d’Écosse, à Morlaix.

L’on avait envoyé au comte de Charette, quarante milliers de poudre à canon de l’Angleterre, qui ne portait pas à une demi-portée de canon.

(26) L’Angleterre trahit l’accord fait entre nous… M. le comte de Puisaye et les autres agens anglais, ont détruit les armées catholiques. Dans toutes les guerres, lorsque les Anglais remportent sur nous quelques avantages, ils insultent en plein parlement, la nation et le militaire français : s’emparent, sans déclaration préalable, de nos vaisseaux marchands ; enlèvent nos marins, les traitent avec indignité ; soudoient au sein de la paix des agences incendières pour nous mettre dans l’impossibilité